LE VANDALISME NE PEUT SE JUSTIFIER EN DEMOCRATIE

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Les récentes nuit de violence n’ont rien à voir avec des manifestations visant à dénoncer des mesures de vaccination que l’on trouve attentatoires à la liberté. Une fois de plus – et ce depuis le début des dégradations par les Rouge-Vert-Noir de statues représentant Victor Schoelcher – nous assistons à des actes de simple vandalisme téléguidés par des individus, qui espèrent déstabiliser le pays.

Renaissance Martinique a systématiquement dénoncé ces atteintes aux libertés afin d’instaurer par la peur et l’intimidation une dictature qui avance cachée. Il est frappant de constater que ce sont toujours les forces vives du pays – agriculteurs, commerçants, chefs d’entreprises – qui sont agressés et dont l’outil de travail est attaqué. Qui pense qu’il s’agit ainsi de réduire le chômage endémique de la Martinique ? Le drame d’Haïti est celui d’une pauvreté sans nom où fleurissent drogue et mafia qui financent le pouvoir politique[1].

Or, le mutisme régulier du pouvoir politique et de la majorité des élus, depuis les dégradations des statues de Victor Schoelcher, n’a pu sembler que complaisance et encouragement à ces destructeurs qui ne cherchent qu’à transformer la Martinique en Haïti.

Ce sera en tout cas sans nous ! Démystifions les escrocs de tous poils !

Yvon JOSEPH-HENRI

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